Samir Messarra
Ce constat ne vient pas de nulle part. Il suffit de comparer les dernières interventions télévisées d’une partie de nos chefs politiques pour s’assurer que le titre de ce message est vrai. En fait nous avons écouté deux types de discours : Les deux premiers sont totalement vides de vision, projet, et contenu et ne parlent tout le temps que d’insultes, haine, et jalousie. Le deuxième est prévoyant, calme, sobre et se focalise de bout en bout sur les idées, les projets, et les efforts que tous les libanais doivent entreprendre pour sortir le pays de la crise politique et économique qui nous a été imposée de l’intérieur et de l’extérieur depuis plus de quatre décennies.
Hier, les libanais ont vu la différence entre un discours d’un homme d’état personnifié par le ministre et le chef du CPL Gebran Bassil, et les discours de beaucoup d’autres qui sont dans tous leurs états, parce qu’ils n’ont rien à dire et rien à proposer. C’est pour cela que leur objectif d’éliminer ce courant patriotique libre aux élections parlementaires a piteusement échoué.